CONSTAT MORBIDE
Constat Morbide
LA VITESSE TUE, TUE, TUE, TURLUTUTU…
Avertissement : afin d’éviter toute confusion et devancer toute velléité de nuisance, notamment chez quelque mal-comprenant volontaire ou quelque professionnel – subventionné et politisé – de la désinformation, nous précisons bien que ce qui suit consiste en une invite à la réflexion par l’information, par la vérité, par le constat. Nous savons bien sûr que la vérité blesse toujours le nihiliste intéressé ou que des psychologies fragiles, ou moins, peuvent en être perturbées -. Nous n’y seront pour rien.
Il ne sera pas question d’accepter, de la part de malveillants inverseurs, que quelque interprétation de ces constats soit compris ou utilisés en tout autre chose que ce qu’ils sont et signifient. Par exemple, prétendre y voir une apologie de la « vitesse » sur route libre, ou de tout autre comportement inepte.
Nous sommes POUR tout encadrement et toute réflexion SENSÉE, mais CONTRE toute politique INSENSÉE, infligée à l’emporte-pièce, pouvant finalement entrainer des résultats à la fois mortifères, délateurs, spoliateurs et même criminels par défaut.
« La vitesse tue… » : c’est la litanie aliénante entendue depuis des décennies.
Cette litanie aliénante est assénée sans souffrance de contestation, de façon pédante, dictatoriale et péremptoire, par une caste organisée, subventionnée, intéressée :
– certains dirigeants et fonctionnaires d’État aux tendances déviantes envers le dit État, ou séditieuses à ses missions premières dans le cadre démocratique constitutionnel, État dont ceux-là semblent faire leur propriété ;
Nous réclamons le retour d’une gestion de l’Etat au Service du citoyen et du public, et l’arrêt de l’organisation de son contraire.
– associations « d’utilité publique » subventionnées, selon un étrange concept désormais dépassé et fort dispendieux. Donc désormais d’utilité plutôt personnelle, car peuplées majoritairement d’anciens fonctionnaires, sensés redresser la gestion défaillance de l’Etat duquel ils étaient les Serviteurs, selon leur langage. Au détriment donc de la conscience du devoir et de neutralité qu’exige le Service au Public de leurs remplaçants supposés parfaitement incompétents, puisqu’il faut des associations pour influencer, pardon : informer, le ministre ! Que ces gens usent d’un système obsolète encore au XXIème siècle serait inconcevable partout ailleurs qu’en France ! Car que des gens en profitent est moins curieux et abscons que l’existence de ce concept « d’utilité public » concédés à d’aucuns, mais à d’autres non ! Nombre de ces associations se comportent en nuisibles hystériques face au public et au Citoyen clairement accusé, insulté, humilié. Proposant uniquement mesures vexatoires, vexatoires, prédelictualisantes… et avant tout rentables pour divers « acteurs » apparemment, et surtout incompétentes à proposer des solutions intelligentes aux vrais problèmes (qu’elles ignorent ou feignent de méconnaître. Il est vrai que mériter les succulentes subventions (payées par ceux qui doivent être punis !) présuppose une certaine constance dans l’embrouille, alors que faire des propositions intelligentes, utiles et saines (non aliénantes) est fort risqué : s’attaquer aux vraies causes, les vaincre, tuerait le radar aux oeufs d’or !
Nous réclamons la fin des subventions accordées aux associations qui dévient de leur mission « d’utilité publique » en en faisant une arme contre les Citoyens, des citoyens, des catégorie de citoyens, et des usagers des bien publics financés par ces mêmes citoyens et usagers. Nous réclamons d’ailleurs toute fin de subventions publiques envers des associations sur des sujets que l’État se doit assurer par lui-même, sauf à ce qu’il en laisse officiellement et démocratiquement, après référendum national, la charge à tout citoyen et entreprise du privé.
– caste de presse subventionnée, servant de liant aux deux précédents, niant la déontologie de leur propre profession, niant le droit d’expression à leurs propres confrères hors-caste, niant au Peuple le droit d’expression et de pensée autre que celle surveillée par leur police de la pensée. Le nihilisme comme morale ! La soumission comme salaire ! Le dégât permanent infligé à la Démocratie, et au Peuple, qui y croit encore !
Nous réclamons l’arrêt définif des subventions à la presse, notamment aux titres et groupes, reprenant telles quelles, sans vérifications, sans commentaires ou sans contestations ou contradiction évidentialisée, des dépêches d’agence d’Etat. Les mêmes titres, les mêmes avis sur 90% de la surface média, comme aujourd’hui, sont une composante majeure contre la survie de la démocratie.
Cet ensemble ci-dessus, visiblement anti-démocratique donc et potentiellement fascisant (la contradiction est tue, voire punie ou éliminée) a transformé la France (auto-proclamé Pays des Droits de l’Homme par ces mêmes gens) en un Pays quasi-invivable au quotidien pour nombre de Citoyens convaincus d’être encore en démocratie, avant d’être peut-être bintôt vaincus et soumis. Ce panoptisme politique (encore un « isme » totalisant, après les triste « ismes » du siècle dernier : panoptisme politique = utilisation de la philosophie de l’architecte anlais Bentham, qui au XIXème siècle a conçu un système de surveillance des prisonniers – le prisonnier se sent constamment surveillé – ; le système de Bentham a depuis été détourné et utilisé pour toutes surveillances – armée, hôpitaux, écoles etc… – puis, politiquement, par des régimes totalitaires européens ; désormais une « tentation soft » s’installe, notamment en France, pour un but de « surveillance de tous par tous » ; sauf par les « utilisateurs » de l’outil, bien sûr…), donc ce panoptisme de type sociétaliste aliénant, semble vouloir à tout prix (c’est le mot) soumettre :
– les professionnels du privé, inclus les employés ;
– les personnes fragilisées (par les politiques économiques, migratoires, sanitaires, initiées et appliquées par le système castcastique et ses agents ci-dessus décrits ;
– les usagers de la route, de la voie publique, les voyageurs en transit en France : à tous ceux-ci, qui souvent n’ont pas la chance comme d’ « autres » de se déplacer pour le travail ou les loisirs (nombreux dans le cas de ces « autres ») avec chauffeur, en avion, ou en tout autre contexte favorisé par des arrangements plus ou moins légaux.
Auxquels il est dénié un des principes fondateur de l’UE : la Libre Circulation, laquelle inclue le droit de ne pas être inquiété dans sa pratique, alors qu’il est d’ailleurs, tout aussi cyniquement accordé à des hors-la-loi de fait, de rouler sans permis (car personnes inconnues, à « ne pas contrôler » et hors statistiques).
Bref : un vrai pastis ! (mais ça tombe bien : l’interdiction 0% d’alcool au volant n’existe pas en France, alors que cet usage est impliqué dans 1 tiers des accidents létaux….).
PANOPTISME IDÉOLOGIQUE : GOUVERNANCE PAR LE MÉPRIS ET LE DRESSAGE
La mise en place constante et plus ou moins discrète du panoptisme politique serait donc en cours. On pourrait en douter si, sur le seul sujet de la sécurité routière, un évident cynisme, un mépris envers le Citoyen, a même conduit la France à déclarer prioritaire la « lutte contre l’insécurité routière », en agitant le bandière Hécatombe Routière® commerciale à outrance aliénante ! Alors que d’autres sujets, majeurs ceux-là, comme la sécurité hors-route pour rester dans le voisinage « sécurité », et carrément tabou. Sous d’apparentes bonnes résolutions, un Président de la République était même allé jadis jusqu’à décréter une « Année Officielle de la Lutte contre l’Insécurité Routière ». Chacun rentre dans l’Histoire comme il en est capable… Une initiative gesticulatoire donc, coûteuse, dilatoire puisque sans résultat probant. Et pieusement entretenue par ses génuflecteurs depuis, au mépris de toute réalité. Et de toute logique et sécurité. Certes, certains de ses confrères, en d’autres lieux (?) et autres temps (??), « s’inquiétaient » de la « sécurité » et de la « santé » de certains co-nationaux, pour enfin les « encadrer », les « dresser », police et Milice Française à l’appui (co-nationaux : on va dire des Amérindiens plutôt (Sioux, etc…), pour ne pas glisser vers quelques références européennes « hors-propos »).
Cynisme oui, car si l’intention est supposée bienveillante (car toute vie est précieuse, et tout être un tant soit peu évolué et doté de raison, animaux inclus, le sait), la présentation, la forme, les mesures, et le ou les buts, sont un peu trop équivoques et suspects.
En voici la démonstration :
– équivoques sont la PRÉSENTATION et le DIAGNOSTIC, cette focalisation sur un danger unique, supposé ou réel (la « vitesse », par le Citoyen-chauffard etc..) ; car comparativement minime en regard de tous autres dangers menaçant le Citoyen-à-Sauver ;
– équivoque est la FORME : la punition, le dressage du Peuple idiot, la sur-réaction intempestive, la punition par des tribunaux d’exception (administratifs !, une « exception française »…) forcément idéologiques ; voire même, la punition par robots panoptiques !
– équivoques sont les MESURES : punition systématique et sytémique, prédélictualisation organisée – 26 millions de flashs en 2016 !!!, bientôt 66 pour 66 millions de français ! – et radarisation-dressage de la population ! Les Français sous le règne de 666 !? Car également : violences physiques et létales, par organisation volontaire que sont l’essaimage sans fin d’obstacles en béton, pour punir, alors que la peine de mort a été abolie en France !, prédélictualisation de l’usager par son exposition à des pièges de plus en plus subtils (haineux, diraient certains) – exemple la marche finissante, punitivement et agressivement plus haute que celle entrante sur les « ralentisseurs – dont les vrais délinquants se foutent bien) terrorisation politique pour qui « déraperait » – l’obsession autophobe de ces gens ! -, et judiciaire (« la peur doit changer de camp », dixit un célèbre Président-énergumène) -. Résultat, outre les 26 millions de délinquants flashés en 2016, la castration aliénante d’une population entière, incluse la castration des réflexes salvateurs des individus !!! Et toujours autant de victimes.
– suspects donc, et le DIAGNOSTIC et les MESURES, car si le Citoyen, l’Usager français, est aussi dangereux et insolent qu’accusé en globalité, peut-être est-ce dû, aussi ou beaucoup, à sa très onéreuse et incompétente formation (pour ceux qui ont le permis de conduire ou le passent : c’est le plus cher du monde. Et sert seulement de cible !).
Au-delà d’autres paramètres liés à la vraie sécurité, dont nous parlons par ailleurs, vu comme est considéré cet amoral individu, cet être idiot, écervelé, malhonnête, assoiffé de sang, moisi et tout juste bon à payer services, impôts, taxes et rançons, les Français, on est en droit (?) de se demander pourquoi, vu l’émotivité de Pa’ Man’ (les gouvernants), ils ne sont pas déjà consignés (cette engeance , maléfique et nausabonde ce peuple populacier) sur le modèle des camps de rééducation, d’il n’y a pas si longtemps, que d’autres sociétalistes avaient organisés. Un peu plus à l’Est de la France.
Donc : double peine pour l’Usager, A) par répression ciblée, stimatisante, et autres agressions spoliatrices. Car il a été tellement mal formé qu’on est donc obligé de le faire surveiller en permanence, à ses frais encore. En contrôlant la vitesse sur des paramètres infondés (car elle seule tue, voilà !), au km/h prêt, démonstration d’idéologie sectaire intolérante ; et B) par répression létale (alors que la peine de mort est sensée être abolie depuis 1981), puisque, malgré tout (et c’est peu dire), d’une part la « route continue à tuer », puisque l’essentiel n’est pas fait, et d’autre part par l’installation de systèmes agressifs et violents (bétonnage skatanoviste, mais écologique sans doute !..)
Suspects donc le ou les BUTS, apparemment animés par autre chose que l’intérêt des individus. Peut-être par quelque chose lié à la culture du profit, par l’usage abusif de subventions publiques diverses, en vue d’expansion de profits (RECETTE, disent-il-e-s). Ces buts opaques, équivoques, ces fortunes – intérêts, profits, « recettes » – rôdant autour du sujet, composent une situation ubuesque et consternante, unique au monde. Du moins dans le monde dit civilisé et démocratique !
Les promoteurs de ce fourbi, tout à leur générosité envers autrui avec l’argent du même autrui, tentent de le justifier en prétendant à la fois qu’il est imposé par l’UE et vouloir l’imposer à toute l’UE. Inclus aux Pays (les 8 premiers devant la France en UE en termes d’efficacité et de sécurité routière sans parler de sécurité tout court) qui jusqu’alors se contentent, avec réussite, d’une politique d’application logique et sensée du Code de la Route ! Code d’ailleurs bien pensé dès ses origines -par des connaisseurs de la route et de la sécurité, réunis en clubs (français : ACO ; italien : ACI ; allemand, ADAC ; etc…), tripoté en permanence en France, ce pays désormais ayant le record du monde de lois, arrêtés, décrets et autres injoncteurs, des plus variés, des plus avariés, des plus ineptes, cumulatifs et toujours en vigueur : un idéal d’absolutisme totalitariste, au cas où !
Cette Gouvernance – c’est leur bon mot, pour « Panoptisme spoliateur de ceux qui ne sont rien » -, par l’agitation ridicule permanente autour du sujet, par le mensonge, par la rétention d’informations, par la discrimination de la population, cette volonté atavique des « élites » françaises à vouloir imposer leurs mauvaises règles et habitudes à l’ensemble de leur partenaires de l’Union Européenne – comme si être le plus latin des Latins, car se croyant, de plus, germano-saxons !, était un sort enviable à transmettre aux amis ! –, serait finalement seulement pathétique. Or, elle périlleuse.
Si certains amis en UE semblent pourtant disposés à succomber à la dernière vocifération émise par la plus grande gueule du machin, cette agitation fiévreuse, en fin de compte, devrait en fin de compte apparaître à un esprit sain, à un esprit cartésien aurions-nous voulu écrire, que pour ce qu’elle est : quelque chose de très suspect, malsain, et peut-être criminel. Car, pendant ce temps, des vies sont en jeu.
CONSTAT & VÉRITÉ
CONSTAT
1/ LA ROUTE TUE :
– accidentologie routière :
L’accidentologie routière est bien sûr une réalité : le négationisme n’est pas notre planche de pain, à nous.
Elle se décompose selon trois caractéristiques majeures :
A/ Le facteur humain
Celui-ci inclue les imprudences, les comportements, la conséquence du formation incompétente, l’absence de respect y compris celui de la vie d’autrui et de la vie tout court…
Exemples :
– imprudence : téléphoner ou pianoter sur un clavier en conduisant ;
– comportement : se croire unique sur la route et au monde (sous l’influence des arrogants de la caste supérieure, peut-être) et bifurquer quand on veut, s’arrêter où on veut, entretenir son véhicule si on veut ;
– formation : absence d’apprentissage de freinage sur chaussée humide, verglacée, gravillonée, boueuse, absence d’apprentissage du dosage du freinage ou de l’accélération pour se sortir d’une situation imprévisible ou imposée ;
– absence de respect de la vie d’autrui : absence de respect des usagers dits faibles (piétons, cyclistes, motocycles, automobiles quand l’usager fort est un 4×4, une camionnette, un autocar et surtout un camion) ;
– respect de la vie tout court : celle des autres et la sienne propre, situation souvent du fait de criminels (les vrais, pas les automobilistes : voleurs, assassins, fuyards, désaffectés médicaux = privés d’affect, inclus parfois, rarement espérons-nous, chez des tenants des forces de l’ordre, du pouvoir ou de certains hallucinés par psychotropes ou idéaux pervers (si nous étions nous aussi des contempteurs de ceux qui nous détestent, nous Citoyens, nous nous réjouirions de souligner que les désaffectés se trouvent très souvent chez qui se croit supérieur et prétend gouverner à sa propre manière, mais nous nous en garderons sachant que c’est aussi ce qui caractérise les grands tueurs en série…).
B/ le facteur technique
Le facteur technique induit :
– la technologie (mécanique, carrosserie et électronique automobile) ;
– la formation à la conduite et à l’entretien du véhicule et à l’usage de la voie publique selon des règles ;
– l’environnement technique dans lequel évolue le Citoyen-usager et le véhicule.
Impact de ces facteurs ; exemples :
– technologie : la France a depuis longtemps et encore, le plus vieux parc roulant de l’Europe des 15 (nous écartons volontairement toute comparaison avec l’Europe des 28 pour des raisons de logique historique et de logique comparative, le plus ignare sachant que l’Europe des 28, dans sa disparité, est une abomination contextuelle, politique, humaine, sociale et sanitaire). Ainsi, avec 11 ans et 3 mois (contre 4 ans et 4 mois en Allemagne, ou 5 ans et 8 mois en Italie), il est clair que le parc automobile français affecte considérablement le potentiel risque, bien que celui-ci ne concerne en premier que les jeunes, les pauvres et les chômeurs, lesquels ne sont pas une « cause nationale ». Moyenne étant la moyenne, onéreux permis en poche et au volant d’une petite auto techniquement obsolète, au bout du rouleau après, mettons 38 ans de bons et loyaux services, le pékin moyen sera moins en sécurité et présentera effectivement un potentiel insécuritaire supérieur à celui du fils ou du(des) conjoint-e-s d’un membre de la caste supérieure au volant de son flamboyant et ultra protecteur 4×4 de l’année (à structure déformable lors d’impact et 24 airbags) de prestige et de ville ;
– formation : le permis français, le plus cher du monde, peine à produire une sécurité juste comparable à celle italienne (où sévit un permis deux fois moins cher) et nettement inférieure à celle américaine (alors qu’il n’est là qu’une simple formalité, peu coûteuse voire gratuite selon les Etats, le tout étant simplement basé sur le Code Civil et donc sur le respect d’autrui). En Europe, 8 Pays obtiennent de bien meilleurs résultats que les français, par une formation efficace, abordable et n’ouvrant pourtant pas la porte à une prédélictualisation, une criminalisation à priori, du Citoyen-ne (ou Sujet-te?)-usager-e.
Cette obsession est, au minimum, suspecte ! :
Le résultat de la formation et de la politique-politicienne à la française étant que, même au sein de l’UE des 28 (et bien que nous ne voulions pas tomber dans la facilité) la France, dans la classification officielle UE (2010, dernières données trouvées / non dissimulées) se place derrière la Belgique et à peine devant la Bulgarie, la Roumanie fermant le ban, mais leurs dirigeants ne prétendent pas illuminer le monde…
– environnement technique : la France ne possède pas le réseau le plus beau et le plus sûr du monde, comme l’inflige l’information officielle française de Paris et, par ricochet, ses crédules croyants. Au mieux, ce n’est que le plus beau réseau routier du monde de France !
Certes, l’environnement routier est parfois à la hauteur de ce qui se fait de mieux ailleurs : des avancées ont été obtenues par la lutte (souvent grâce à des groupes de défense des usagers, comme les Motards en Colère qui ont obtenu des penseurs-fonctionnaires la réduction de rails de sécurité-guillotine). Certains proches de ces fonctionnaires, ayant peut-être finalement perdu la vie dans ces circonstances, ont pu servir de « preuve »… On ne peut pourtant qu’avoir cette impression d’un « tout-fait-à-moitié », impression aggravée, ou confirmée, quand on s’interroge sur le destin de la manne de la répression pavlovienne (1.800 millions d’euros annuels, 2016) ! En effet, quand une belle route se transforme soudainement par un subit rétrécissement, souvent gravillonné, et de surcroît non balisé, après un beau panneau « chaussée rétrécie » ou même « trous en formation« (unique au monde probablement !) : des questions peuvent se poser !
Nous sommes face à un déficit sécuritaire environnemental évident (aggravé par une bétonisation punitive et criminelle ! Style : « ils n’ont qu’à respecter le Code ! » – où la peine de mort rétablie par des élus et des fonctionnaires ; à la barbe des juges !) dont seul l’usager, là encore, est supposé responsable, donc punissable. On peut se demander si – mais admettons que ce ne soit pas le cas – « l’invitation » appuyée à prendre l’éventuelle autoroute (payante, très chère, et confiée par passe-passe à des sociétés opaques et amies, financées depuis sa création par le Citoyen, pour exploitation « d’utilité publique déléguée » à privé) ne serait pas, outre qu’anti démocratique, vaguement criminelle…
C/ le facteur contextuel
Le contextuel se présente au Citoyen-usager lorsqu’il affronte un ou des facteurs cités précédemment. Mais le facteur contextuel de la sécurité routière, en France, va bien au-delà de la sécurité routière.
Ceci est clairement la conséquence à la mise en œuvre d’une idéologie, imposée à tout prix, à tout coût, et pour tout autre intérêt que celui du Citoyen et Usager : l’outil étatique, accaparé, créée ainsi une aliénation dont la rhétorique ne souffre aucune contestation. Basée sur le mépris et le profit personnel et immédiat, la soumission des Français fait de toute façon désormais qu’ils ne sont que rarement aptes à contrer une interprétation culpabilisante relative à leur personne, leur intelligence et leurs droits de Citoyens. Et le tout, pour un sujet aussi simple que la sécurité routière !
Les Français sont persuadés que des gens vraiment intelligents s’occupent réellement de leur sécurité, et acceptent cette aliénation quotidienne (et mensuelle, par le décompte officiel et obligatoirement médiatisé, d’une morbidité et d’un cynisme sans pareils dans les autres démocraties : les fameuses statistiques routières, diffusées au nom d’associations subventionnées et spéculatives, et leurs complices de la presse subventionnée et intéressée).
Les Français, désinformés, aliénés, ultra-« communiqués » (jadis, on disait « propagandés ») sont ainsi empêchés de se poser la et les bonnes questions. Celle-ci, au hasard :
– si les dirigeants et autres intéressés sont vraiment inquiets de la sécurité du Citoyen, pourquoi s’arrêter à la seule sécurité routière, et en particulier à la seule vitesse ? Surtout si on sait que, parmi l’accidentologie routière décrite ci-dessus, un tiers, 32,6%, des accidents létaux implique un poids-lourd ou assimilé (grosse camionnette, autocars, gros 4×4) exclus des relevés de radar (en ce qui concerne les PL), et de toute façon incompatibles lors d’un choc avec un tiers faible (le tiers faible ne gagnant jamais, voir les carnages par camion sur voitures de tourisme sur autoroutes, pourtant les voies les plus sûres, bien qu’ inaccessibles aux plus pauvres) ; qu’un autre gros tiers implique 34,7% de drogués (alcool, toxicités…) ; et qu’enfin le dernier tiers inclut tous les facteurs décrits ci-dessus (inclus assassinats par arme de destination), dont la vitesse, laquelle d’ailleurs n’est que dans 7% des cas supérieure à 15 km/h à la vitesse autorisée). Il est donc facile de comprendre que le ou les buts sont autres que la protection du tant estimé Citoyen.
Alors : au-delà de l’incompétence et de la facilité, de l’éventuelle protection d’initiatives amies – pour ne pas dire « ponction par et pour amis »-, si la préoccupation première des dirigeants et autres intéressés est vraiment la sécurité du Citoyen et du Résident en France, pourquoi ne pas appliquer cette répression à la soviétique aux autres sources d’insécurité ? Pourquoi le si fameux principe de précaution devient si sélectif ? L’insécurité routière n’est pratiquement et en fait que la dernière roue de la charrette démocratique et républicaine, en ce qui concerne la SÉCURITÉ TOUT COURT. Celle des Français et des personnes vivant en France ou se déplaçant en France.
Le facteur contextuel est donc l’obstacle majeur, pervers, injuste et criminel en ce qui concerne la sécurité routière en France. Et la sécurité tout court, hors routes, en France.
Nous le prouvons :
VÉRITÉ
2/ LE BORD DE LA ROUTE TUE :
Mortalité violente et/ou évitable en France :
Statistiques : la vraie insécurité
La focalisation sur la seule « insécurité routière », de plus sur la seule coupable supposée, la vitesse, est une aberration anti-démocratique et criminelle.
Anti-démocratique car diktat incontestable, donc incontesté. Ce fait est aggravé par un usage de profit par morbidité et catastrophisme (la fameuse Hécatombe Routière® ! ), cultivés et par-là, autant indécent que malhonnête : écœurant.
Criminelle, car cette attitude évacue et donc tolère, ou encourage en creux, tous les autres paramètres concernant la sécurité des Français et des usagers des voies et services français, y compris les (très) nombreuses incuries conséquentes.
De plus, il est assez probable que nombres de personnes, en France, abruties par le discours officiel, se voient totalement privées de leur conscience et de leur prudence innées. Car désormais puissamment assurées qu’hors route, il n’y a aucun danger ! – puisque le danger, c’est la route seule, Grande Cause Nationale.
Donc, incitation à comportements dangereux partout ailleurs ? Hors routes ?
Nous ne sommes pas grassement rémunérés, nous, pour entreprendre des recherches sur ce sujet précis. Mais le monde étant ce qu’il est, il est à craindre que nombre de drames sont dus à cette croyance du danger unique : cette manipulation criminelle et absolument indigne d’une prétendue démocratie !
Les faits sont têtus, et de graves anomalies sécuritaires, dont certaines sont des records mondiaux, d’autres en pleine expansion, ne sont pas à l’honneur de tous ces charlatans, donneurs de leçons diplômés, ségrégationnistes auto-patentés (certaines morts étant plus médiatiques) et exploiteurs chevronnés et endogames idéologiques (certaines morts, certains malheurs sont plus exploitables – rentables – que d’autres).
Ainsi :
ETAT ANNUEL MOYEN DE LA MORTALITE VIOLENTE ET/OU EVITABLE EN FRANCE
Le constat ci-dessous est non-exhaustif.
Cela signifie que, pour un Citoyen, pour des Lanceurs d’alerte – c’est notre cas -, l’accès à certaines informations et statistiques est très difficile : rétention, dissuasion, dissimulation et manipulation sont aussi une réalité !
Nous avons intentionnellement « omis » d’inclure quelques affaires d’État odieuses (« Sang Contaminé », « Vaches folles », maladies importées ou ré-importées, lait contaminé et cosi via… : que les victimes ou les familles de victimes de ces trafics intéressés nous pardonnent, notre but n’étant pas de faire de la politique politicienne, et nous exposer encore plus à la Police de la Pensée, aux Juges du Mur des Cons, ou aux diverses barbouzeries toujours possibles dans une « démocratie » comme ce qu’est devenu notre République. Nous nous exposons déjà pas mal par la seule diffusion de la vérité observable, et ne souhaitons pas mettre notre vie, intégrité physique, mentale, citoyenne et judiciaire en danger létal.).
Cependant, ce seul constat non-exhaustif est déjà terriblement édifiant quant à la santé de notre démocratie, notre santé tout court, et, accessoirement la santé mentale et morale de nos castrateur.e.s
Qu’on en juge :
1/ LA ROUTE TUE, ou Décès consécutifs à accidents routier (à tout sujet « saigneur officiel » tout honneur officieux) :
2013 : 3.268 morts / an, dont (rappel) : 1 tiers impliquant un poids-lourd, 1 tiers impliquant des drogués, l’autre tiers englobant tout le reste, dont les déficits environnementaux, les imprudences (dont le rite français de répandre du gravier pour faire travailler les carriéristes amis et faire chuter les 2-roues ou aveugler des automobilistes, que l’on verbalise, en plus, pour « défaut de maîtrise du véhicule » !), le déficit de formation aux priorités de conduite (inclus des policiers eux-mêmes !). Par exemple, la rétention d’information et de formation sur la conduite sur chaussée glissante, les délits de fuite et tentatives d’assassinat, ou meurtres, par arme de destination (automobile, camion…), punition corporelle infligée par des « gendarmes couchés » (ralentisseurs hors-normes et « vengeurs » de par le conception !) et autres obstacles létaux, pouvant aller jusqu’à la peine de mort. Et bien sûr classiques refus de priorité, changements de direction intempestifs (dont les motards et autres 2-roues sont les premières victimes : 83% des motards sont victimes d’autrui, mais c’est eux que l’on stigmatise !..), circulation à gauche (de plus en plus fréquentes), et même la vitesse (7% des implications réelles, dont dans ces 7%, 1,8% de vitesse réellement cause de l’accident et de sa gravité) !.. C’est ainsi, il y a toujours plus d’accidents en France. Utilement ?
Pour autant, et ceci est à porter au seul crédit des constructeurs et des avancées technologiques appliquées, la mortalité est constamment en baisse sur le vrai décompte (nombre d’usagers/nombre d’accidents). Et hors les très nombreux « usagers spéciaux » (sans papiers, hors classe, hors statistiques, même si possesseurs d’une Carte Bleue de type Visa à l’entête de Ministère de l’Intérieur…).
Mortalité cependant en baisse, donc, comme dans tous les Pays du monde, répression et radars ou pas, car l’évolution technique, des pneumatiques, des systèmes de freinage, des techniques de protection des occupants à l’intérieur des carrosseries, l’éclairage des véhicules, l’équipement des motards, et tout de même l’aménagement de certains tronçons routiers, etc… a fait des progrès appréciables et appréciés des usagers.
Seuls les concepteurs et les thuriféraires sectaires de la répression rentable à la française ignorent, ou feignent d’ignorer cette réalité, d’où l’existence de leur fourbi aliénant, répressif, anti-démocratique panoptiste et quasi-criminel, contre un Peuple manifestement détesté, voire combattu. Le progrès ne se décrète pas : la logique et la liberté l’impose ! Le pouvoir devrait l’accompagner pour qu’il profite à tous. C’est loin d’être le cas !
AINSI, CES 3.268 MORTS POURRAIENT THÉORIQUEMENT ÊTRE RÉDUITS DE QUASI DEUX TIERS EN PRIORISANT ENFIN INTELLIGEMMENT LES ACTIONS, tel que pratiqué dans les Pays directement comparables (Allemagne, Grande Bretagne, Italie, Pologne ou même Turquie). Par exemple grâce à l’usage d’une vraie Police de la Route, présente, respectueuse, bien formée, bien équipée (pouvant acheter du carburant, aussi…), bien rémunérée, sachant sélectionner les priorités en faveur de la sécurité des Citoyens et usagers plutôt que d’être contrainte à faire du chiffre facile…
Cependant, agiter le spectre d’une mort sur la route, toujours voyante et faisant sale, est un outil dont aucun propagandiste viscéral ne saurait se passer. Les autres morts (accidents domestiques, du travail, médicaux, ou par incurie administro-démocratique style amiante, vache folle, particules fines…) étant hélas bien peu valorisantes pour ces moralistes sélectifs. Voire même assez gênantes (suicides, meurtres, attentats…).
Solution à la « franniaise » :
La route tue ? : vite, un radar !
2/ LE TRAVAIL TUE, ou Accidents du travail
2012 : 660 morts / an
Bilan partiel, car les maladies professionnelles et les décès consécutifs à blessure concernant nombre de cas (burnout, empoisonnement, travail au noir, esclavage, esclavage moderne, etc…) sont particulièrement tabous en République française. Les fumeux « Pacte Républicain » et autres « Valeurs », ne sont pas concernés ! (en plus, ça se passe surtout dans le privé, dans des circonstances où les gens travaillent, quand leur emploi n’a pas disparu).
On va donc estimer, raisonnablement, la réalité de ces décès d’un ordre de grandeur de près de 2.000 morts annuels en réalité !Outre les « réticences » ci-dessus (burnout etc…) : suites de blessures sur le travail, notamment au noir (dont une ministresse sociétaliste avait tweeté que « ça, ça peut se régler au fouet, ça c’est déjà fait »). Et au-delà des probablement 10.000 décès annuels pour les maladies professionnelles, dont certaines nous les incluons quand même dans d’autres rubriques, comme celle du scandale Diesel – particules fines (dans les les métiers de la mécanique ou de l’Industrie).
Nous n’incluerons pas ces chiffres (2.000 + 10.000 = 12.000 ! On parle de vies humaines et par honnêteté intellectuelle, nous ne souhaitons pas agraver notre bilan en fin de page, déjà bien trop effarant. Par dissimulation et privation de détails, nous ne voudrions pas jouer le même jeu morbido-faussaire, tels ces falsificateurs stipendiés que nous critiquons !
Nous ne grossirons donc pas le « superbe » bilan final en ajoutant 12.000 morts, et nous en tenant aux seuls 660/an « accessibles » : après tout, dans l’ambiance cyniquement morbide dans laquelle les Français baignent depuis des décennies (voir le marronnier mensuel des morts du mois sur la route, jubilatoirement asséné par les « associations » et les « médias » très intéressés), on n’est pas à 12.000 vies prêt, n’est-ce pas MM. les Préfets des Rond-Points ? (référence à quelques Préfets, illuminés de leur Mission Divine – bien que sélective – qui se plaçaient ou se placent encore, avec 40 policiers, à un rond-point guettant le Citoyen-terroriste, car « si j’ai pu au moins sauver une (1) vie, j’aurai accompli mon Devoir »). Alors qu’en fait, aucun devoir n’est honoré !
Solution à la franniaise ? :
Le travail tue ? : vite, un radar !
3/ LE MAZOUT TUE, ou Décès dus aux émissions de particules fines émises par les véhicules
2012 : 42.000 morts / an . Rapport OMS 12/06/2012.
Ainsi détaillé : 14.000 décès prématurés en France chaque année, dont 14.000 décès directs par particules fines, 28.000 décès prématurés en France chaque année, dont 28.000 décès indirects par particules fines ; exemple : cancer du sein, chez habitantes ou usagères exposées.
Les dirigeants et affairistes français, appuyés par les syndicats, relayés par les associations anti-automobilistes par leur silence de Sachant adoubé, ont créé une monstruosité à la française. Mais cette usine à gaz tue directement !
La France, le Pays le plus diésélisé au monde, après avoir saboté la diffusion de technologies bien plus saines (GPL, GNV, essence, hybride essence/électrique…) et immédiatement exploitables et optimisables, a, pour de sombres histoires de copinage et d’intérêts particuliers, pris ses propres Citoyens en otage (ils ont été formatés pour acheter un diesel !), les faisant complice du crime : la dangerosité du diesel, connue par le premier bon technicien venu – le diesel est une conception, en partie obsolète, destinée aux machineries industrielles, les poids-lourd faisant partie de ces machines, mais certainement pas pour motoriser, même à coups d’artifices extrêmement onéreux, de petits véhicules en masse ! –, a été très consciencieusement mise de côté !
« Ils » vont d’ailleurs vous dire que c’était pour défendre l’emploi français. La réalité est que les autos françaises et ou leurs composants (88% dans leur cas !) sont fabriqués à 79% partout ailleurs qu’en France : Slovénie, Turquie, Slovaquie, Maroc, Chine, Japon, USA, Italie, Portugal, Espagne, Corée, Brésil, Russie, Inde, Vietnam, Suède, Mexique, Malaisie… nous le démontrerons régulièrement dans notre rubrique « le Loto de l’Auto ».
Quelques personnes lucides ou honnêtes ont pourtant osé tirer la sonnette d’alarme sur le sujet tabou de la diésélisation de la France et de l’esprit des Français. Telle une courageuse Ministre (pas une égérie excitée, pour une fois) qui l’aura payé de son poste (Mme Delphine Batho, pour ne pas la citer, comme on dit). Le Scandale Mazouté est pourtant bien pire que celui du Sang Contaminé ou de l’Amiante, entre autres spécificités à la « franniaise ».
Gageons que, là encore, tout se terminera bien pour les Interessés (honneurs et toutes récompenses, promotions dont est capable leur République) et criminalisation de l’utilisateur (diésélisé ou non) + taxe compensatoire, déguisée de préférence, Pour Tous !
Solution à la franniaise ? :
Le mazout, le diesel, tue ? : vite, un radar !
4/ LE MEURTRE TUE, ou Décès par assassinat
2012 : 655 morts / an
Ici aussi le sujet est tabou.
On perçoit vite un complexe manipulatoire, notamment sur les organismes officiels, où l’on s’amuse assez bien avec des différencions sémantiques comme « meurtre », « homicides », « assassinats »… Le chiffre officiel, 655, est manipulé. De plus les attentats, et encore plus les attentats quotidiens (« faits divers » : accidents de couteaux…) sont carrément évacués. Étrange, dans une démocratie qui pourtant envisage d’inclure les recettes du crime (drogue, prostitution…) dans son PIB…
Les meurtres baissent, officiellement, d’une année à l’autre, mais nous avons le sentiment que la réalité est autre : la sémantique (meurtres, pas assassinats etc…) sert-elle, là aussi ?
Grands sentimentaux, sur le mode du « sentiment de beau temps » cher à nos journalistes-fonctionnaires-experts-en-météorologie et autres gesticulations, nous savons que nos dirigeants requalifient nos doutes en « sentiment d’insécurité », en « sentiment de persécution », en « sentiment de blessures », en « sentiments de viol » (200/jour en France !), en « sentiment de décès », bref en sentiment d’eccetera…
Alors on va se contenter, morbidement comme nos spécialistes en spécialités routières, de ces 655 assassinés. Dont certain-e-s en bord de route, ou dans leur auto. Comme quoi, la route et l’auto tuent bel et bien…
Solution à la franniaise :
Le meurtre tue ? Vite, un radar !
5/ LA VIE TUE, ou Décès de la vie courante
2012 : 22.000 morts / an
Les accidents de la vie courante sont classés arbitrairement en 2 catégories principales :
– accidents domestiques (exemple chutes dans escaliers, brûlures dans cuisine, bricolage intempestif…)
– sport et loisirs (cyclisme, ski, escalade, jardinage, football, équitation, travail « de loisir »…
Ce chiffre, 22.000 morts (soit 6,7 fois celui de la route !) est en constante augmentation.
Nous considérons qu’il s’agit d’une résultante de l’aliénation sur le seul danger de la route (la fameuse HécatombeRoutière© des panoptistes intéressés). Le manque d’information, le conditionnement de la population, les encouragements à se libérer sans entraves (hors route !), la stigmatisation de l’automobiliste/motocycliste comme seul générateur de danger, a créé une forte subjectivité dans la population. Persuadée d’être en sécurité partout sauf sur la route, elle a perdu son sens naturel de prudence. Encourager ce genre d’attitude est à la fois révoltant et criminel, et la conscience des promoteurs du tout-radar-contre-le-violent-automobiliste devraient en être affectée durablement. A moins qu’ils ne soient des désaffectés pathologiques, égocentriques et insensibles à la vie d’autrui (définition des tueurs en série par les scientifiques du FBI..).
Solution à la franniaise :
La vie tue ? : vite, un radar !
6/ LA CAME TUE, ou Décès dus à l’alcool et aux drogues (hors tabac)
2012 : 45.000 morts / an
L’alcool et les psychotropes provoquent directement le décès de 45.000 personnes par an en France, hors conséquences de ces usages sur route (voir plus haut, le 1/3 des accidents routiers !).
Puisque ces nocivités sont constatées et connues, comment se fait-il qu’alcool et drogues soient encore largement tolérées ? L’alcool est par exemple toléré à 0,5% gr/l sang, alors qu’il est tolérance 0 sur les routes de tous les États modernes d’Europe, même les plus petits, comme la Tchéquie, la Croatie…
Rappel : l’alcool – la drogue – tue non seulement son consommateur, mais aussi ceux qui le croisent. Dans sa vie, ou sur route. Bien sûr c’est un peu dur à entendre – la vérité blesse toujours -. Même dans certains commissariats (pas tous, heureusement !), ministères, et autres sièges d’associations de (petite) « vertu »…
Solution à la franniaise :
La came tue ? Vite, un radar !
7/ LA FOLIE TUE, ou Décès par maladies mentales et troubles du comportement
2012 : 3.000 morts / an
Sujet très délicat. D’autant que certain-e-s peuvent se sentir directement visés. (C’est de l’humour ! D’ailleurs, plus on est de fous, plus on rit).
On ne va pas essayer de comprendre pourquoi il y a plus de ces cas, ou ce qui les crée. Nous ne sommes que des Citoyens : nous constatons. Il est d’ailleurs quasi égal à celui de « l’HécatombeRoutière© ». Mais, heureusement, on ne stigmatise pas (plus, ou pas encore) les malades comme on stigmatise les « fous du volant et du guidon » !
La science n’a, malheureusement, pas réponse à tout. Les spécialistes en spécialités que nous subissons – qui n’hésitent pas à s’attaquer aussi à ce sujet, dès qu’il en va de leur intérêt, notamment au sujet de « déséquilibrés non terroristes » – non plus. Par chance !
Solution à la franniaise :
La folie tue ? Vite, un radar !
8/ LE BRUIT TUE, ou Décès par excès sonores
2012 : 2546 morts / an
Les nuisances graves dues aux agressions sonores est un fléau dont la France, Pays de Bricolos notoire, s’enorgueillit : qui subit de tels abus et aura voulu faire valoir ses droit de Citoyen en démocratie, aura compris ! On vous envoie la Police Municipale pour vous faire taire ! Au bout de deux ou trois demandes d’intervention : 3 Agents viennent et vous invitent fermement, au nom de la Mairie, à ne plus importuner ! (faits vécus par l’un de nous, affaire en cours…).
Les malvivants et autres incivils se voient octroyer une prévalance morale, par les politiciens, par les polices (nationales, municipales, semi-privées, militaires ou autres…) car la norme du Vivrensemble politisé et a-démocratique fait (nouvelle) loi !
Bon, nous, nous sommes apolitiques : notre souci est (aussi) notre prochain. Et notre prochain meurt en France du fléau de la nuisance sonore quasi-permanente en certains lieux. Il meurt à hauteur de 2.546 fois. Presque une « hécatombe routière » !!! Certes, il meurt proprement, ça ne se voit pas, ça ne fait pas tâche : ça ne rapporte rien.
Le détail de ce fléau se répartit comme suit : voisinage abusif, boîtes de nuit improvisées, « boîtes de nuit » à roulettes et autoradio à fond (même dans voitures de Police !), perçage et tapage compulsif en immeubles… Résultat : 1,8% des décès par crise cardiaque, soit 2.546 décès ! du total (45.900 morts) des maladies cardiaques (nous ne comptons pas ce chiffre, 45.900, ici car nous sortirions du cadre des décès violents et évitables que nous nous sommes fixés). Encore que de nouvelles statistiques, européennes celles-ci, évoquent des résultats encore plus effarants ! (nous les intégrerons ultérieurement, après études).
Solution à la franniaise :
Le bruit tue ? Vite, un radar !
9/ LE FEU TUE, ou Décès lors d’incendies de bâtiments et logements
2012 : 2.000 morts / an
Il y a 236.000 incendies de bâtiments habités en France chaque année, record d’Europe !
Dirigeants et fonctionnaires imbus d’eux-mêmes et de leur caste, presse soumise et subventionnée, associations de schizophrènes indignés, syndicats vendus, margoulins incendiaires, Citoyens aliénés par une déformation organisée sur les risques réels dans leur Pays, ont entre autres – vétusté, défauts d’entretien, travail au noir, locations criminelles à populations exposées – contribué à cette situation criminelle indigne d’un Pays moderne.
Pays, la France, dont les Citoyens, les Résidents, voyageurs, usagers, bien que systématiquement méprisés, paient le plus d’impôts, taxes, taxe sur taxes, amendes, rançons routières etc… au monde !
Les décès (brûlés, asphyxiés, défenestrés, écrasés) sont soigneusement tus et dissimulés. Certes, non pas inaccessibles « car nous ne sommes pas en dictature », mais… Ces chiffres dissimulés, ou plus exactement « dispersés », représentent une estimation d’au moins le double du chiffre « officiel », déjà lui-même, imprécis, de 2.000 morts ! Ces 2.000 de plus , (qui feraient donc une réalité de 4.000 !) nous les avons quand même soustraits, nous en tenant à 2.000 officiels, pour ne pas fausser le compte vérifiable du bilan global, déjà bien consternant !
2.000 morts, lors d’incendies de bâtiments, habités et/ou incluant des sauveteurs, c’est quand même moins que « l’HécatombeRoutière© », du moins en « apparence ». Alors, autant pratiquer l’omerta la plus vile : parler pour rien fatigue, à la longue… D’ailleurs les Grand-e-s Journaliste-e-s, ces chauffard-e-s de l’info, n’en paraissent pas ému-e-s !
Solution à la franniaise :
Le feu tue ? Vite, un radar !
10/ LE SUICIDE TUE, ou Décès par suicide reconnu
2011 : 11.000 morts / an
On dénombre (déplorer serait connoté) en France 11.000 décès par suicide chaque année en France.
Un sujet (encore un!) délicat : pourtant la tendance, depuis cette statistique de 2011, est exponentielle (probablement 12.500 en 2013, 16.000 en 2016) ! Donc ça doit aller dans le bon sens, celui peut-être souhaité quelque part. De plus, question prestige et réussite, ces 11.000 accordent déjà à LA République, la deuxième place mondiale de suicidés !
En fait, le sujet serait peu intéressant. Peu rémunérateur, et même un peu perturbant.
D’autant qu’après tout ce n’est même plus des suicidés par amour – ou alors par dépit amoureux, au constat de ce que devient la France -, mais, pour la plupart, des jeunes pauvres et paumés, des vieux pauvres, rejetés – maltraitances ; maltraités par le Système ! -, des ouvriers et employés, des petits patrons, des gens du privé, souvent sans dents, qui n’étaient rien. Qui n’ont même pas réussi de concours (par discrimination positive ? pour devenir fonctionnaires comme tout le monde. Qui ont réussi à perdre leur emploi déporté à l’étranger, alors que les fonctionnaires savent suffisamment ne pas perdre le leur (et pour cause !) pour donner des leçons à titre posthume à ces incapables !
Il y a aussi certainement beaucoup d’autres causes (un autre nombre existerait, que nous n’incluons pas, par l’éthique que nous nous imposons concernant ce bilan vérifiable déjà bien monstrueux comme ça !, et qui mène au double, soit 23.000 morts !), désespérés médicaux (d’autres seront prioritaires, et puis les budgets pour la recherche, pour les soins des Citoyens, passent après d’autres priorités, plus mondialistes). Des meurtres-suicides (meurtre de conjoint, ou de toute la famille suivi d’un suicide ; ou encore : suicide en auto, seul ou avec passagers !), qu’on ne décompte dans rien, car affaires « sensibles » !!! Voire un ou deux philosophe, écrivain, ayant voulu attirer l’attention sur l’avenir de sa Nation… Mais bon, rien de bien intéressant dans tout ça. Même pas un ministre suicidé par autrui, comme jadis. C’est dire…
Donc, pas de quoi remettre en question la douceur de vivre en France, ensemble de gré ou de force, en toute égalité même salariale et sociale, ce « bonheur pour tous » issu du « diktat pour tous » bien géré par la « police de la pensée pour tous ».
Du coup, pourquoi en parler ? C’est tellement irritant, n’est-ce pas ?
Solution à la franniaise :
Le suicide tue ? Vite, un radar !
11/ LA NOYADE TUE, ou Décès par noyade
2013 : 2.208 morts / an .
Imprudences, ébriété, circonstances, tentatives de sauvetages dramatiquement échouées, chutes (et parfois « poussage ») dans plans d’eaux, signalisation ou environnement défaillants, la mortalité par noyade n’atteint pas encore celle de « l’hécatombe routière », mais elle progresse…
Les noyades se répartissent ainsi :
1.008 décès / an en piscine
1.200 décès / an en rivière, lacs, mer…
Nombre d’enfants sont concernés. Mais au moins ils ne deviendront pas des chauffards de la route, penseraient certain-e-s : en réalité et une fois de plus, nous dénonçons la focalisation sur la seule route, et la seule vitesse, comme étant accidentogène et dangereuse en France : occulter tous les autres dangers en abrutissant – en les aliénant – les gens, c’est les exposer à une négation subjective de tout autre danger, et ceci produit des situations qui seraient évaluées comme quasi-criminelles (par défaut au devoir) en toute autre démocratie.
Solution à la franniaise :
La noyade tue ? Vite, un radar !
12/ L’ERREUR MEDICALE TUE, ou Décès par accidents médicaux reconnus
2010 : 10.000 morts / an .
Il s’agit ici d’un chiffre minimum, reconnu (du bout des lèvres et des claviers, la vérité étant plutôt autour des 20.000 décès par an), datant de 2010 et probablement en pleine croissance, après les oeuvres de différents acteurs : encore moins de médecins, de personnel, ou alors mal formé dans certains Pays étrangers, moins de moyens, et toujours plus de patients à prendre en compte, avec environ 300.000 nouveaux français chaque année.
La France de 67 ou 77 millions d’habitants ou résidents (la science des statistiques françaises mérite en effet un diplôme, français) d’habitants et/ou résidents et/ou touristes-médicaux, est en fait à la merci d’un système de santé conçu en 1950, pour 40 millions d’habitants / cotisants.
En ce sens, 10.000 morts par an (le double sans doute au réel), ça peut aller, c’est à peine un peu plus que 3 fois « l’hécatombe routière », mais comme là c’est discret, c’est gérable : « ça fait pas désordre » comme une sale voiture – et ce sale automobiliste et sa famille – écrasés par un 40 tonnes sur l’autoroute payante des vacances…
Solution à la franniaise :
L’erreur médicale tue ? Vite, un radar !
13/ LA GRIPPE TUE, ou décès par grippe saisonnière
2010 : 1.750 morts / an .
L’Institut Pasteur constate 1.750 morts par an, moyenne jusqu’en 2010.
Il déplore également la baisse de la vaccinations préventives à la suite des extravagances sous une ministre / saltimbanque télévisuelle (des dizaines de millions de vaccins achetés, payés par le contribuable, puis jettés après une campagne de gestion de crise ubuesque, persuadant durablement le public, le Peuple, les Français, que toute campagne alarmisto-politique est un leurre, un fouttage-de-gueule supplémentaire).
Ainsi, le résultat est que de moins en moins de personnes se vaccinent, y compris les plus fragiles d’entre-elles (bébés, jeunes enfants, personnes âgées ou diminuées par une maladie chronique) et que malheureusement le chiffre ci-dessus, 1.750 morts par an, doit être augmenté dans une proportion qui nous est assez inaccessible, omerta prévalant, sans doute plus proche, hélas encore, de ceux de « l’hécatombe routière » (3.265 morts en 2013)…
Solution à la franniaise :
La grippe tue ? Vite, un radar !
14/ L’IMPROMPTU TUE, ou Conséquences des Accidents saisonniers mal, peu ou pas gérés
2.333 morts / an .
La canicule de 2003 a fait 15.000 morts (minimum reconnu).
La vague de froid de l’hiver 2010-2011 a provoqué 6.000 morts.
D’autres nuisances inconnues, ou connues mais tues, mal, peu, ou pas gérées, se maintiennent dans l’opacité.
Soit de bonne foi (importation de virus, retour de maladies disparues mais réimportés, comme rage, chikoungounia, tuberculose, peut-être ebola ou autres…, du fait de la Libre Circulation, du Non-Contrôle et du Non-Radarisage des individus, autres qu’usagers de la route gentiment identifiables et donc rançonnables), soit par calcul politico-corporatiste-associatif intéressé, comme tant de précédents (sang contaminé, sida, amiante, GPL explosif, particules fines mazoutées, vache folle, boeuf au cheval, grippe aviaire…) le laissent craindre.
Nous aurons donc l’élégance de ne pas supputer, empruntant seulement à nos dirigeants et leurs affidés intéressés, le même décompte morbide à l’emporte pièce, arrivant ainsi au nombre de 2.333 morts par an par Accidents Impromptus – saisonniers ou autres – mal, peu ou pas gérés, moyenne obtenue en divisant seulement le résultat conséquent à deux de ces « accidents » connus et, de force, reconnus. Nous reconnaissons qu’il s’agit d’un mode empirique, nous l’utilisons ponctuellemnt (d’ailleurs la vraie réalité doit être pire !), puisque de fait, nous sommes dans une gestion politique empirique, et que le meilleur exemple vient d’en haut…
Solution à la franniaise :
L’impromptu tue, turlututu ? Vite, un radar !
15/ LE TABAC TUE, ou Décés évitables, tabac et drogues en première ligne
2013 : 73.000 morts / an .
De même que personne n’est obligé d’aller considérablement vite (rare !), ou de prendre des risques au volant (moins rare !) ou ailleurs qu’au volant (très répandu !), de même personne n’est obligé de fumer tabac ou autre) ni d’infliger cette nuisance à autrui (foetus, nourissons, bébés et enfants en premier lieu).
Certes, des campagnes, parfois hypocrites (quand un Etat, comme la France, a, ou avait, une administration fabriquant et distribuant commercialement le tabac, il est assez peu crédible dans ses stigmasisations du fumeur, ou alors on se rapproche de la stigmatisation du conducteur à qui on a délivré un permis de conduire extrêmement onéreux et déplorablement non-formateur, pour mieux le stigmatiser et le punir de son incompétence réelle, ou supposée par création de pré-delictuasisation tels radars abusifs, interprétation abusive du Code de la Route – scandale du feu orange… -), des campagnes de dissuasion ont été entreprises.
Reste le constat. Il est terrible. Et il est de 73.000 vies perdues, chaque année, en France, sans qu’un préfet de-rond-point aie pu en sauver aucune. C’est bien bête. Les victimes directes et/ou indirectes (les proches respireurs) pourraient, de droit, le déplorer, demander justice, Monsieur le Préfet-des-Rond-Points !
Cependant, voir les choses sous un autre angle pourrait au moins être considéré.
Par exemple moins de répression, plus de liberté, moins de démagogie réactionnaire au moindre son différent émis par une motocyclette de passage (alors que le voisin tape, perce, creuse tout le week-end), moins de stress imposé au quotidien, moins d’abrutissement organisé, moins de références superficielles et déplorables, plus d’envie de découvrir par soi-même le monde qui nous entoure, à pied, à vélo, à cheval, et oui, à moto, en voiture !… encouragerait peut-être une partie des Citoyens, jeunes si possible, de s’éloigner de tous les idiotismes ambiants (ça concernerait aussi les demoiselles, dont un de ces idiotismes sociétalistes interdit l’usage du mot !).
L’usage du tabac a été un de ces idiotisme officiel, adoubé par les Bien-Pensants-Officiels du moment (« ça fait viril », « ça donne une contenance », « ça fait femme libérée, d’on ne sait quoi », toutes ces illusions vantées dans les journaux, les livres, le cinéma, la télévision, les sachants-à-pipe(s), promus pour quiconque manquait de personnalité) et s’est révélé parmi les plus néfastes (moins que nombre d’idéologies intéressées, cependant) !
Solution à la franniaise :
Le tabac tue ? Vite, une taxe, un radar !
16/ L’AMIANTE TUE, ou Décès dûs à l’exposition, respiration ou ingestion durable à l’amiante
2012 : 1.370 morts / an, en phase exponnentielle jusqu’en 2024.
Interdite dans les Pays modernes, dont ceux immédiatement voisins à la France telle l’Italie (interdiction d’usage de l’amiante exposable à tout public dès 1958 !), la France (celle des dirigeants, de la caste) a mis très longtemps a reconnaître la létalité de l’amiante.
De mêmes phénomènes semblent en action en ce qui concerne les méfaits des particules fines émises notamment par le diesel tant privilégié par la France pour des raisons uniquement commercialo-politico-copinage, ceux de la pollution intérieure des habitats, ceux de l’exposition au risque d’incendie dont la France est la championne d’Europe, et sans doute, encore à découvrir et révéler, deux ou trois bricoles sanitaires exposant la santé, et/ou la vie de nombre de Français ou de Résidents en France…
La France des stigmatiseurs, des dénonceurs intéressés, des janissaires subventionnés, a décidément d’étranges rapports avec la santé et la vie de ses concitoyens, de ses contribuables, et tout simplement avec la démocratie. On comprend bien pourquoi les action-class à l’anglo-saxonne (mais aussi à la germanique, à l’italienne, à la japonaise…) ne sont pas tolérables dans la République-du-Pacte-Républicain-Autocréé !..
1.370 morts par an, 1.370 vies perdues, 1.370 individualités, des personnages – pères, fils, frères, mères… – précieux perdus, à défaut d’accès aux autres calamités criminelles par défaut de précaution, d’information et d’action, c’est le chiffre que nous ajouterons au terrible bilan des Décès hors-route, violent ou évitables, en réponse à la manipulation mensuelle morbide du Système, visant uniquement à la culpabilisation facile et dilatoire du Peuple, via son-portefeuille et ses souvent maigres ressources.
Solution à la franniaise :
L’amiante tue ? Vite, un oubli, et un radar !
17/ LE TRAVAIL TUE, ou Décès au travail et Maladies professionnelles (hors amiante)
2012 : 2.700 morts / an .
Répartition : 700 décès par an sur lieu de travail. Les accidents du travail au volant sont inclus de la fameuse mortalité routière, autre tour de passe-passe bien commode pour la bien-pensance subventionnée, souvent peuplée d’individus n’ayant jamais réellement travaillés de leur vie ou jamais travaillé du tout. 2.000 décès par an par maladies professionnelles impliquant fortement l’environnement professionnel : particules fines dans les métiers de l’Automobile, stress mortel ou nouvelles maladies identifiées comme la fibromyalgie OMS 247.9, crise cardiaque due à la pression insensée, ulcères et cancers (la France est le Pays d’Europe où la tension est la plus forte, et ce même avant la crise bancaire mondiale organisée, dite Grande Crise 2008), suicides camouflés…
2.700 morts par an : employés, ouvriers, cadres, petits patron, à 99% dans le privé. Car en plus risquant en permanence la triple peine (petits salaires ou salaires obtenus au prix d’efforts disproportionnés, risques sanitaires ou psychiques, et risque de chômage et déclassement).
Trop désepérant pour mettre notre « e » ironique à « cadres » par exemple, qui respecterait un des idiotismes à la mode. Trop triste, trop chagrinés par la perte de ces précieuses vies, Hommes (donc femmes) oubliés dans un néant que nous aurions pu, dans de très nombreux cas, éviter, différer… Il est toujours trop tôt pour mourir, mais en plus au travail, en « servant réellement mon Pays », en contribuant à l’enrichissement de tous ceux qui vivent du tavail des petits du privé, c’est réellement à pleurer. Pleurer, ce n’est certes pas le genre des goûlus et des désaffectés psychiques auto-promus élite en place du Peuple souverain : raison de plus pour en tenir compte et ne pas oublier ! Tout ça est trop anti-démocratique, trop anti-républicain pour pardonner aux fanfaronneurs médiatisés !
Solution à la franniaise :
Le travail tue, déportons le travail, et surtout, Vite un radar !
18/ L’INCURIE TUE, ou Décès par défaut de prévoyance et d’incompétence
223.311 morts / an (ce chiffre inclue le résultat hors-routier + les 2/3 des accidents routiers évitables hors vitesse et accidents « classiques » (donc problèmes poids-lourds et drogue : soit 2.179 décés sur les 3.268 annuels)
Ce 18èmme constat est aléatoire car les risques, notamment de décés, sont noyés dans un contexte difficile, pour le moment, à appréhender. Ce fut déjà le cas, par exemple, du fameux problème des particules fines, dont la responsabilité du diesel, ce jouet français obsolète de vieille origine allemande, était fortement, violemment, inaccessible : seul l’OMS, avec sa puissance d’organisation indépendante extérieure à la République du Pacte-Républicain a pu faire sauter le blindage.
Ainsi, les conséquences de la mal-bouffe organisée et matraquée à coups de dollars, les nouveaux modes de vie (vie passée devant écrans de télévision par exemple), les conséquences létales plausibles dues à des conditionnement politico-religieux (inclus à fin de prompte rentabilité personnelle) totalement tolérés, acceptés ou encouragés, sont certes difficiles à mesurer, pour le moment, mais indubitablement actives envers le plus néfaste destin pour nombre de nos compatriotes et résidents.
Le bilan étant déjà tellement affreux, que nous sommes presque contents de ne pas à avoir à y ajouter encore d’autres victimes (dont on devine pourtant l’existence, hélas, dans certains de nos constats ci-dessus) : nous avons déjà dit que nous n’utiliserons pas les méthodes de drammatisation pavlovienne et intéressée des gens dont nous dénonçons le comportement vis-à-vis du Peuple, des Usagers, des Résidents de France, des voyageurs et vis-à-vis de la démocratie tout court.
Ces décès évitables et probables concernent des personnes tout aussi dignes que ceux de « l’hécatombe routière » : nous ne jouerons pas le jeu morbide mensuel de la caste des dirigeants-responsables-associations-chauffards de l’info intéressés, nous nous excuserons seulement auprés des familles de ces victimes de ne pas pouvoir (encore) les intégrer au bilan des Victimes de la Réalité, déjà sidérant, tout en leur témoignant toute notre compassion et notre respect.
Solution à la franniaise :
L’incurie tue ? Vite, le silence, et vite un radar !
BILAN :
225.490 morts évitables/an en France !
dont :
222.222 morts évitables HORS ROUTE/an en France !!
Alors voici voilà, nous y sommes : tels les morbides statistiques de la pseudo « hécatombe routière », diffusées mensuellement, avec « bonne conscience » sinon avec délectation, jubilation ou toute autre malhonnête satisfaction – relayées comme un seul « homme » par tous les prosélytes du dogme officiel pour culpabiliser le sale citoyen de base, ce populiste endémique – nous nous trouvons face au décompte correspondant à la réalité.
Dès lors, plus que morbide, celle-ci est littéralement effrayante ! Pour un Pays géré par des « représentants » pour qui « sauver ne serait-ce qu’une seule vie par tous les moyens, y compris ma présence dans cette opération de répression contre le chauffard qui sommeille en tout automobiliste », le résultat est non seulement effrayant, insupportable et choquant, mais en plus il est terriblement inquiétant en termes de pratique démocratique, si cette valeur n’a pas déjà été vidée de tout sens et toute responsabilité.
Qu’on en juge :
1/ LA ROUTE TUE, ou Décès consécutifs à accidents routier : 3.268 morts/an
RAPPEL : 1 tiers implique un poids-lourd ou équivalent, pourtant peu contrôlés et « imperméables » au radars pour des raisons politiciennes ;
1 autre tiers implique conducteurs alcoolisés ou drogués ; le dernier tiers implique toutes les autres causes, la vitesse n’étant qu’un facteur partiellement aggravant.En aliénant une population entière sur ce seul élément, on lui ment, on la prédélictualise pour lui faire subir une punition privative sans fondement scientifique et éducatif, d’autant qu’on on la met (délibérément ?) en danger pour tout le reste dans la vie ou la disproportion « préventive à la française » est loin, très loin d’être appliquée sur des risques pourtant bien plus nombreux et meurtriers que « l’hécatombe routière » officielle. Puisque tout ça « ne serait pas grave », puisque seule la vitesse l’est, par décision démagogique, intéressée, électoraliste, castiste, les 16 autres constats suivants (le 18ème étant en fait le « total » monstrueux du fourbi ici dénoncé !) découlent de cet obscurantisme formaliste, dictatorial, nouméal (=démission de la raison) et ne méritent donc pas qu’on s’en inquiète. Ou d’en faire des « causes natioanales », car forcément non-rentables.
2/ LE TRAVAIL TUE, ou Accidents du travail : 660 morts/an
RAPPEL : c’est un minimum ; l’accès à la vérité est rendu difficile. En tout état de cause les victimes en mission de travail au noir ou les bricolos n’entrent pas dans ce constat. De même certains de ces accidents sont comptés dans « accidents de la route », comme les risques du métier des voyous, des fuyards…
3/ LE MAZOUT TUE, ou Décès dus aux émissions de particules fines émises par les véhicules :
42.000 morts/an
RAPPEL : aussi incroyable que le chiffre soit, il s’agit pourtant d’un minimum : enfumage en cours !
4/ LE MEURTRE TUE, ou Décès par assassinat : 655 morts/an
RAPPEL : chiffre positionné volontairement bas ; poisson noyé entre meurtres, assassinats ou peut-être autres choses, du fait de l’absence de glasnost dans les pratiques démocratiques françaises.
5/ LA VIE TUE, ou Décès de la vie courante : 22.000 morts/an
RAPPEL : bien très élevé, le chiffre est biaisé (les clandestins ne sont pas comptés par exemple ; les décès après agression, qui font parties de la vie courante, non plus).
6/ LA CAME TUE, ou Décès dus à l’alcool et aux drogues (hors tabac) : 45.000 morts/an
RAPPEL : l’addiction a pour conséquence des décès prématurés, à la charge de la collectivité ; la recherche d’addiction traduit un échec politique et sanitaire ; par ailleurs, le même pouvoir qui stigmatise des catégories (les Usagers de la route) a promu pendant longtemps cette nuisance, y compris par des sociétés d’Etat : d’avoir reculé n’exhonère pas la responsabilité de qui a durablement contribué à imprimer l’inconscient collectif. On attend la même chasse répressive des guides de ces politiques, pour conduite dangereuse d’un Etat, telle qu’elle est pratiquée envers les « chauffards » pour conduite « dangereuse » de véhicule.
7/ LA FOLIE TUE, ou décés par maladies mentales et/ou troubles du comportement : 3.000 morts/an
RAPPEL : la folie, c’est un peu comme l’esclavage : si on l’abolit, ou si on le nie, ça n’existe pas. Toutefois, au-delà de tout jargon de bien-pensance que ce soit, la France n’est pas exempte de conséquences d’ordre psychiatrique, et bien que là aussi le tabou soit virulent, on arrive à un total annuel proche de celui des « fous du volant et du guidon » chers à nos stigmatiseurs patentés, bien qu’apparemment les dits fous du volant ne soient pas (encore) inclus dans ce constat…
8/ LE BRUIT TUE, ou décés par excès sonores : 2.546 morts/an
RAPPEL : le bruit, le vacarme, les nuisances sonores nocturnes et diurnes : le bruit fait partie de ces incivilités progressistes, donc au-delà des lois, décrets et ordonnances, et créant des victimes peu intéressantes. De toute façon, 2.546 morts/an, c’est moins que les 2.900 de la très médiatique hécatombe. De plus, si les gens ne sont pas contents de leurs voisins, ils n’ont qu’à déménager à Neuilly, Saint-Tropez ou Davos.
9/ LE FEU TUE, ou Décès lors d’incendies de bâtiments ou logements : 2.000 morts/an
RAPPEL : tabou majeur que voici ! Normes en causes, mais aussi : pondre des normes à tout va, on sait faire, mais les appliquer… (la France est le Pays qui a le plus de lois, décrets etc.. au monde, et tout ça, pour ça). Le chiffre est ici, hélas, minimum : les conséquences des brûlures sur les brûlés ou axphixiés sont hélas parmi les plus pessimistes au bout de certains délais. Curieusement, les médias français friande de records en tous genres, ne font jamais état de ce beau record d’Europe.
10/ LE SUICIDE TUE, ou Décès par suicide reconnu : 11.000 morts/an
RAPPEL : même motif, même punition. Il s’agit ici pourtant carrément d’un vice-record mondial ! Mais tenir un registre morbide mensuel sur le sujet – comme fait pour la route – n’est pas « d’actualité ». De plus, le chiffre croît, et ça parle moins, coco, qu’une bonne bagnole d’imbéciles biens broyé(e)s !
11/ LA NOYADE TUE, ou Décès par noyade : 2.208 morts/an
RAPPEL : c’est embêtant ça, partir en bagnole en vacances et se noyer… Les loisirs, eux (qui rapportent tant) ne devraient pas tuer… Que faire, que faire ? Ne pas en parler, peut-être ?
12/ L’ERREUR MEDICALE TUE, ou Décès par accidents médicaux reconnus : 10.000 morts/an
RAPPEL : sujet délicat, dangereux, mortel même. Autant s’en tenir aux chiffres officiels, même si c’est le nombre de victimes est plus de 3 fois supérieur à ceux de l’Hécatombe. D’un autre côté, si les gens ne tombaient pas bêtement malades ou se blessaient, y compris sur la route, ils n’auraient pas besoin de ces « soins ».
13/ LA GRIPPE TUE, ou Décès par grippe sasonnière : 1.750 morts/an
14/ L’IMPROMPTU TUE, ou Décès par Conséquences d’accidents saisonniers non gérés : 2.333 morts/an
RAPPEL : il s’agit peut-être d’un chiffre de constat bas, s’en tenant à la moyenne de 2 faits avérés (canicule 2003, hiver 2011). Ainsi, il nous est, ou pas, peut-être caché un impromptu comme ce qui est devenu « le sang contaminé » ou « les particules de diesel »… Nous nous efforçons, en effet, à rester optimistes…
15/ LE TABAC TUE, ou Décès par addictions évitables dont la consommation de tabac : 73.000 morts/an
RAPPEL : l’addiction a pour conséquence des décès prématurés, à la charge de la collectivité ; la recherche d’addiction traduit un échec politique et sanitaire ; par ailleurs, le même pouvoir qui stigmatise des catégories (les Usagers de la route) a promu pendant longtemps cette nuisance, y compris par des sociétés d’Etat : d’avoir reculé n’exonère pas la responsabilité de qui a durablement contribué à imprimer l’inconscient collectif. On attend la même chasse répressive des guides de ces politiques, pour conduite d’Etat dangereuse, telle qu’elle est pratiquée envers les « chauffards » pour conduite « dangereuse » de véhicule.
16/ L’AMIANTE TUE, ou Décès par empoisenement à l’amiante : 1.370 morts/an
RAPPEL : un autre Pays latin, l’Italie, l’avait pourtant interdit dès les années ’60 !
17/ LE TRAVAIL TUE, ou Décès par le travail ou Maladies professionnelles : 2.700 morts/an
18/ L’INCURIE TUE, ou Décès par défaut de prévoyance, négationisme et/ou incompétence : 225.490 morts/an
De fait, le point 18/, de par sa nature – l’incurie : y compris une politique de sécurité routière inadaptée car uniquement axée sur la punition, la taxation, l’abus de pouvoir pour masquer, par une agitation délétère, une totale absence d’intelligence, d’efficacité et de respect du Citoyen – résume en un total monstrueux (et pourtant non encore exhaustif pour les raisons détaillées dans les constats ci-dessus !) de 223.311 décès (hors « vitesse ») évitables par an !
CONCLUSION
En mettant en perspective le terrible TOTAL DES DECES EVITABLES PAR AN EN FRANCE, soit :
225.490 morts violentes ou évitables par an on a la part de l’Hécatombe Routière dans ce bilan : 1,54% avec le TOTAL APRES DEDUCTION de la part de « l’hécatombe routière » (3.268 morts/an dont 2/3 (2.179) seraient évitables sans l’obsession perverse sur la « vitesse ») dans cette catastrophe nationale, on reste dans des proportions intolérables, soit : 222.222 morts par an HORS ROUTE !!! soit la part de la Mortalité NON-ROUTIERE dans ce bilan : 98,46 %
Deux-cent-vingt-deux-mille-deux-cent-vingt-deux vies disparues pématurément par an, dans l’indifférence et le silence morbide !
Lesquelles, n’étant pas perdues bêtement sur route, et ne faisant ainsi pas partie des maudits 1,54 % de la Terrible Mortalité dûe au Grand Fléau Officiel de l’Hécatombre Routière de France, ne méritent donc pas d’être sauvées, du moins pas prioritairement, pas trop et surtout pas « systémiquement », que ce soit à un rond-point ou sur une ligne droite ou sur une avenue, par un preux préfet et ses 60 gardes du corps, ou par un radar, ou encore toute autre incantation magique, performativement (concept freudien autoproclamé = j’affirme, je publie, donc c’est) légale, et bien sûr républicaine.
C’est à la fois dommage, édifiant, flippant, et peut-être enfin bon à savoir.
Bon à savoir : pour tout démocrate ou pour tout personne, Citoyen, observateur, respectueux de la Démocratie et soucieux de ses propres droits…